La fin
Au chevet de mon lit d'hôpital
je m'apitoye sur mon mal
Dans ma tête des voix sonnent
Autour de moi j'y vois personne
J'ai les yeux d'un innocent à qui la vie porte préjudice
Dans des larmes de sang je subit ses supplices
Je ressasse les propos de ma mère
Qui disait que la vie était éphémère
Peut importe tes acquis matériel
préserve ta beauté intérieure
je sens mon agonie proche
Tel un catholique du Dimanche j'attends le coup de cloche
Qui me conviera dans le monde du jugement
Où mon âme vivra eternellement
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